Quand le travail fait mal, quand il pèse, quand la reprise ressemble à une menace, on se dit que pour stopper la douleur, il faudrait apprendre à s’ennuyer.
Prendre un emploi simple, sans enjeu, et se concentrer sur le fait que la vraie vie est ailleurs.
Des tas de gens autour de nous semblent s’en accommoder, et souvent on les envie.
Mais est ce que les gens comme nous, profils atypiques, esprits bouillonnants, multi-passionnés, saurons nous désengager du travail?
Désescalader un surinvestissement toxique, cela s’apprend.
S’imaginer devenir indifférent, cela ressemble plutôt à une chimère.